« Qu'il soit bleu,
gris ou orangé le ciel
est toujours là, au-dessus
de nos têtes. Reflet de
nos humeurs, on y cherche
l'inspiration, on l'interroge,
on l'admire. »

Site Evene

# 59 (2015-11-12)

# 60 (2015-12-18)

# 61 (2016-01-23)

# 62 (2016-02-10)

# 63 (2016-03-04)

# 64 (2016-03-25)

# 65 (2016-04-23)

# 66 (2016-05-06)

# 67 (2016-06-18)

# 68  (2018-01-20) 

# 69 (2018-01-28) 

# 70 (2018-02-11) 

# 71 (2018-02-27)

# 72 (2018-03-19)

# 73 (2018-03-28)

# 74 (2018-04-18)

# 75 (2018-06-16)

Derrière ce pseudo masculin, se cache pourtant une femme, une retraitée de l'enseignement qui tente de conjuguer au mieux « âge du coeur » et « âge réel ». Quelle était alors l'idée ?

Subtilement, dans l’antichambre
de cette décision saugrenue, se dissimulent certainement mon amour de la musique et la mémoire du temps où je touchais le piano, mais la justification de mon choix est toute autre.

Le sens du mot « prélude » reflète avec exactitude ma perception de la vie et de ce que je suis « ici et maintenant ».

La vie nous forge, nous façonne.  Du premier jet que nous fûmes à notre naissance, nous progressons vers une condition plus aboutie. Chaque expérience de vie est une forme d’improvisation de laquelle nous apprenons. Elle devient alors prélude à la suivante. Dans le même ordre d’idée, comme une saison est prélude à la prochaine, comme l'instant présent est prélude à celui qui vient, je suis prélude à ce que je serai demain.

Au fil du temps
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Bienvenue dans mon Coin de Ciel,
Petit lopin emprunté à l'immensité virtuelle.
Blotti contre un rayon de soleil,
Paisiblement, il veille.

Entre là-haut et ici-bas,
Entre chez vous et chez moi,
Il sera, je l'espère,
Céleste repaire.

Au milieu de l’espace infini,
Jaillit son vif rayon.
Puisse-t-il répandre chaleur et vie
Aux quatre coins de l’horizon.
 
Halte au coeur du temps,
Aire où il fera bon s'arrêter,
Mon Coin de Ciel vous attend.
Venez vous y reposer.